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Tous ceux ayant perdu un Fils, un Parent, un Frère, une Sœur, un Amis… dans une douloureuse épreuve d'accident et autres, trouvent ici, toute notre compassion et nos condoléances.
I. PERCEPTION SUR LA VIE ET LA MORT
1.1 La mort…..une vipère d’angoisse et de stress
LA VIE. UN MOT sacro-saint. LA MORT. UN MOT nauséeux, répugnant…
La
naissance d'un être humain s’annonce concomitamment, par la bonne nouvelle et
l’enthousiasme social renaît. Après une si longue attente, il est enfin là, le
mignon bébé, et le sourire familial jaillit. Mais hélas, dès sa naissance,
l’être devient candidat et objet de convoitise de toutes les rugosités fatales
de la vie d'ici-bas. Les plus vulnérables, trébuchent à la fleur de l'âge, sous
ce fardeau insupportable. Par contre, d'autres se résignèrent par essai-erreur,
par coup de chance, pour atteindre la boucle (mourir grand-père).
En
Afrique africaine, la vie d'un être humaine reste sacrée, quelque soient
les virulentes épreuves auxquelles il végète sa communauté, cette dernière
éprouve en lui, une valeur intrinsèque. Car un temps soit peu, elle lui
inculquera certaines vertus adéquates pour le circonscrire. Lorsqu'il trépasse
sous les stigmates de son malaise, sa société s’effondre moralement et se
consterne face à l’amertume.
Nonobstant, il n'est pas du tout synonyme d’angoisse et de peur, lorsque les africains pleurnichant leurs morts. Non, loin de là, et pas du tout, le sens n'est autre que, la nostalgie de l'empreinte d'un être à la valeur utile et sa place dans la société. Étant donné que, son absence caractérise un défi, un obstacle auquel cette société tâchera difficilement d'y pallier.
La mort disait le psychiatre guinéen Ibrahima SOW : « le plus grand malheur est de mourir sans laisser une descendance, et c'est bien cela, pour les africains que manifestent l’angoisse de la mort irrémédiables, c'est à dire la véritable mort par extinction est disparition de la lignée...cela voudrait dire que le mort demeure parmi nous les vivants, il n'est pas anéanti grâce à sa descendance ».
Nonobstant, il n'est pas du tout synonyme d’angoisse et de peur, lorsque les africains pleurnichant leurs morts. Non, loin de là, et pas du tout, le sens n'est autre que, la nostalgie de l'empreinte d'un être à la valeur utile et sa place dans la société. Étant donné que, son absence caractérise un défi, un obstacle auquel cette société tâchera difficilement d'y pallier.
La mort disait le psychiatre guinéen Ibrahima SOW : « le plus grand malheur est de mourir sans laisser une descendance, et c'est bien cela, pour les africains que manifestent l’angoisse de la mort irrémédiables, c'est à dire la véritable mort par extinction est disparition de la lignée...cela voudrait dire que le mort demeure parmi nous les vivants, il n'est pas anéanti grâce à sa descendance ».
La
mort n’est donc pas utopique en nous, qu’on soit à #Niamey, à Kargui-Bangou, à #Madaoua, au #Nigeria, à #Gaza, en #Syrie…. Bref il suffit juste de s’en
rendre compte qu’elle est inéluctable en nous, afin de se départir de ses
interminables effrois, qui ne cessent de nous endommager psychologiquement.
Alors, il faut s’y préparer en conséquence pour les surprises surprenantes de
la mort.
1.2 L’être et la notion du temps…
Là, là-bas, de l’autre côté, proche de, tout droit vers… telles sont les locutions utiles pour l’assistanat, la rescousse d’une aventure perdue au carrefour du trajet. Les détails s’échappent au contrôle de l’homme à l’horizon d’une réflexion. Dans son envie, il prévoit, il prend en compte, il rend compte…, tout dans le segment de temps. Le passé, le présent restent un acquis, une référence, une leçon à cet effet… ; mais semble-t-il, le futur demeure l’énigme insaisissable et pleine d’incertitude en lui. Il raconte le vécu par le biais du passé en ces termes : « nous fûmes…, nous eûmes…, nous étions…, nous l’avions…on aurait dû…», Tels sont les mots pour le dire, les mots pour le préciser.
II. CONTOURS D'UN INDÉSIRABLE ADIEU....
25 mars 2016, 25 mars 2017, voilà aujourd’hui, les 365 jours de notre malheureuse aventure ayant dépouillé l’âme de nos camarades, amis, chevaliers de lutte pour une géographie utile au développement harmonieux de notre merveilleuse Afrique. Nous fûmes ensemble et incarnâmes idem au consortium, au même trajet pour une cause noble. Cependant, à environ 35 km de Dosso (notamment à Kargui-Bangou) le bon Dieu décida autrement de notre perception sans aperception.
Tout commença à l’Université Abdou Moumouni de Niamey, où les rencontres estudiantines se soldent vraisemblablement à des nobles idées, aussi dynamiques, ciblant la problématique de l’heure. On se questionne, on construit, on démolit, on se concerte, on sollicite, on remet en cause, on doute, on vérifie… voilà toute l’éventualité de vision estudiantine, pour contourner les obstacles incommensurables afin de parvenir à un dessein.
2.1 Spirale trajectoire
Ce voyage fatal, intervient un an et une journée juste, de celui
entrepris (sous la bannière du Club des Étudiants en Géographie du Niger) sur
l’Université de Ouagadougou (le 24 mars
2015) pour partager avec nos frères géographes Burkinabès, l’idéale réseau
associatif et panafricain des étudiants géographes, baptisé ‘’Réseau Africain des Associations et Clubs d’Étudiants en Géographie’’ (RACE-Géo.)
Là, là-bas, de l’autre côté, proche de, tout droit vers… telles sont les locutions utiles pour l’assistanat, la rescousse d’une aventure perdue au carrefour du trajet. Les détails s’échappent au contrôle de l’homme à l’horizon d’une réflexion. Dans son envie, il prévoit, il prend en compte, il rend compte…, tout dans le segment de temps. Le passé, le présent restent un acquis, une référence, une leçon à cet effet… ; mais semble-t-il, le futur demeure l’énigme insaisissable et pleine d’incertitude en lui. Il raconte le vécu par le biais du passé en ces termes : « nous fûmes…, nous eûmes…, nous étions…, nous l’avions…on aurait dû…», Tels sont les mots pour le dire, les mots pour le préciser.
II. CONTOURS D'UN INDÉSIRABLE ADIEU....
25 mars 2016, 25 mars 2017, voilà aujourd’hui, les 365 jours de notre malheureuse aventure ayant dépouillé l’âme de nos camarades, amis, chevaliers de lutte pour une géographie utile au développement harmonieux de notre merveilleuse Afrique. Nous fûmes ensemble et incarnâmes idem au consortium, au même trajet pour une cause noble. Cependant, à environ 35 km de Dosso (notamment à Kargui-Bangou) le bon Dieu décida autrement de notre perception sans aperception.
Tout commença à l’Université Abdou Moumouni de Niamey, où les rencontres estudiantines se soldent vraisemblablement à des nobles idées, aussi dynamiques, ciblant la problématique de l’heure. On se questionne, on construit, on démolit, on se concerte, on sollicite, on remet en cause, on doute, on vérifie… voilà toute l’éventualité de vision estudiantine, pour contourner les obstacles incommensurables afin de parvenir à un dessein.
2.1 Spirale trajectoire
Excursion à l'UO de Ouagadougou |
Conférence public à l'UFR de l'UO |
A
l’issue de cette rencontre bilatérale, un comité exécutif provisoire (suivant
le statut et règlement intérieur régissant le dit Réseau) a été mis en
place, accompagné par une feuille de route. En premier lieu, ce comité a la
lourde mission d’étendre cette idéologie en Afrique, afin d’inciter l’adhésion
et l’intégration des Associations et Clubs des étudiants en géographie.
Des programmes du développement
furent démembrés dans plusieurs thématiques, en occurrence l’environnement
(sol, eau..) africain et les approches d’intervention, économie verte et le reboisement des aires,
le monde rural et urbain, la cartographie etc. Face à toutes ces attentes pour
une Afrique émaillée de contraintes. On s’était convenu de la création des
Fédérations pays qui seront coordonnées par le comité exécutif représentatif
pays de RACE-Géo, au prochain statutaire de Niamey.![]() |
Logo RACE-Géo |
2.2 Tractations pour les formalités
![]() |
Tractation au Ministère ES/RI |
C'est à juste titre qu'après de multiples pléniers, la date
du vendredi 25 mars 2016 est adoptée pour entreprendre la fameuse
mission sur l'Université de Zinder. Durant cette mission, il était prévu
des ateliers de renforcement de capacités des participants (programme RAACE-Géo,
CLIMAX, Communication réseau sociaux, Cartographie...), l'adoption
des textes réglementaires régissant le cadre organisationnel de l'ANEG
et enfin, la mise en place de l’Exécutif National de l'ANEG.
2.3 L'étudiant Burkinabè Silvère SALGA et le rêve manqué
L’étudiant chercheur SILVERE Salga |
Le Burkina Faso, s'est fait représenté par le camarade
géographe SILVERE Salga avec son ambition de partager avec nous, son
Label de recherche scientifique agrée dénommé ''Climax'' (programme de
micro-électricité solaire, pour une assistance rurale, adressé aux agriculteurs
pour la conservation des produits agricoles via la chambre froide) et sa ''Théoried'analyse'' sur l'interaction du monde.
2.4 Départ et langage d'adieu
Après avoir effectué la prière de ''Soubhi'' (à la mosquée de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines), notre véhicule décolla aux environs de 6h 20' et quelques minutes.
Langage d'adieu Escale Dosso |
Durant cette escale, on s'était convenu de s'arrête à nouveau à une moindre distance de la ville de Dosso pour assurer le petit déjeuner des camarades. Pendant ce temps, les camardes s'aventurèrent sur des questions d'ordre académique de l'Université Abdou Moumouni et la nécessité d'y remédier.
![]() |
Langage d'adieu dernière escale |
2.5 L'inévitable mésaventure
![]() |
Discussion sur l'état de surface de l'environnement |
Aux aguets de notre véhicule, s’en est suivie une explosion brusque, ‘’Ashé’’ ce fut le pneu d’arrière droite. Avec l’aide de Dieu, je lisais à haute voix répétitive la ‘’la’ ilaha illa lah Muhamadur rasul lulah’’. Et n’acquit le déséquilibre du véhicule, qui s’est aspiré tout d’un coup dans la dynamique du tonnage d’extrême droit.
L’incroyable s’est arrivé dans la douleur pathétique, où seuls deux étudiants parmi les 13 au bord, se tinrent débout dans le chagrin à la rescousse des autres. Nul ne peut l’imaginer, l’admettre, une telle tragédie où nos camarades propulsés, éparpillés dans tous les extrêmes ; tant d’images rouges ; du gémissement à l’agonie…sont les pires écrans qui tourmentent nos consciences.
Malgré ce séisme de conscience, nous nous sommes résignés de consentir un dépassement de soi, tenir le moral et assister à bon essien les camarades blessés.
Perdus
à jamais, Feu camarade Mahamadou NAHANTCHI ; Feu camarade Abdoulkarim
AMADOU ; Feue Maimouna SOULEYMANE à la fleur de l’âge, la mort nous
les a arrachés de justesse, et mis un terme au séjour d’ici-bas. Paix à vos
âmes amen…!!! Qu’ALLAH vous pardonne et vous agrée dans son éternel paradis
amen…!!! Ce que vous avez consenti reste l’immortel chef-d’œuvre pour
l’ensemble des géographes tant qu’au Niger qu’en Afrique. Vous n'avez pas vécu
dans le néant, et votre esprit n'est pas anéanti et continue de briller. Des
graves pleures, la détresse et la demeure.
2.6 Les séquelles virulentes
D'innombrables
blessés, évanouis, étaient à la une de notre grosse inquiétude.
-
De la camarade Falila SOULEYMANE réanimée au CHR de Dosso, ne posait des questions
sur ce qui est arrivé, vu son état, j'ai voulu camoufler l'info. Son insistance
m'a obligé d'en avouer. Je songe de son
courage de prière aux défunts après l'annonce de l'incident. Malgré tout ce
dialogue, Falila n'étant pas du tout en parfaite consciente, il a fallu le lendemain
pour qu'elle renoue et s'en rendre compte de certains faits. Les études ne l'ont pas contrainte de rembourser chemin dans le système associatif qu'elle ambrasse avec brio le ''JVE'' Jeunes Volontaires pour l'Environnement.
Les
cas extrêmement graves sont ceux de camarades :
-
Camarade le plus souffrant, MAHAMAN SALISSOU Ibrahim (1 an à l'hôpital
et jusque là..) victime d'une DILATATION plus ou moins
URÉTROTOMIE INTERNE DU BASSIN. Il encaisse le cas le plus compliqué,
Ibrahim a observé quatre (4) interventions chirurgicales dont 3 à l’Hôpital de
Lamordé de Niamey, et une (1) à Kano au Nigeria où il est au chevet de
l'hôpital actuellement. Nous souhaitons en lui un prompt rétablissement, et
nous ne cessons d'implorer Dieu le tout puissant de l'assister pour une
meilleur santé amen !!! Nous demandons de prier pour lui.
- GUIRGUIDI KOLLO Abdou, dont le sang jaillissait de ses narines et oreilles et le vomissait sévèrement jusqu’à Niamey. Je m'inquiétait sur lui, vu son état grave. Notre camarade Abdou a perdu conscience pendant plusieurs journées. Aujourd'hui, il s'est rétabli en forme et fréquente l'Université.
- Pour le cas de camarade Salif MAMADOU, victime des atrocités de la vitre, a enregistré une fracture sur le bras, la déchirure des lèvres et un effet de traumatisme délirant. Par la grâce de Dieu, le camarade en question s'est rétabli Kahin Kaha. Et renoue aujourd'hui avec la Faculté des Lettres et Sciences Humaines.
- IDRISSA IBOUN Abdoulkarim poignardé par les vitres à un degré extrême au niveau de
l’abdomen, malgré sa douleur a fait un dépassement de soi et marquer son
insistance sur l'état des autres camardes. Je dois lui reconnaître la bravoure
et la ténacité qu'il a démontré lors de la suture de sa blessure très
profonde. Ce camarade est en ce jour confortablement en bonne et due forme.
Il est même candidat à un poste aux
élections de la délégation générale des étudiants de la Faculté des Lettres et
Sciences Humaines.
- Silvere SALGA notre homologue du Burkina Faso, qui a bien voulu partager avec nous ses produits de recherches scientifiques. Il fut le plus propulsé environ 12 mètres de longueur. Je me souviens de ses gémissements, de ses réclamations d'aide d'assistance en eau. Un paysan l'a tendu une gourde d'eau, dont j'ai automatiquement arraché et déversé, puisqu'il est prohibé à toute personne accidentée d'en consommer afin de l'éviter un autre malaise mortel. Silvère fut le cobaye des stagiaires qui l'on enduré dans la suture de ses égratignures. Il a aussi observé une fracture ayant échappé à la radiographie. Cependant, le scanner de clinique Mogori l'a identifiée. On a opté pour la traumatologie traditionnelle pour le soigner. Salga est à Ouagadougou, où il continue ces miracles de théories scientistes.
-
OUSMANE Abdou Salamou très patient, a observé un emboîtement au niveau
du clavicule. Notre camarade a surmonté l’épreuve, nous le remercions de fond de cœur pour avoir hébergé pendant un temps les victimes de cet incident. Malgré l'ardeur de la vie, il continue à s'affirmer positivement dans les études, et aussi dans diverses initiatives d'utilité intrinsèque.
-
Notre chauffeur Malam Ibrahim a échappé de justesse, j'ai en mémoire ces images
lorsqu'il a gardé l'équilibre du véhicule face à l'inévitable.
- Concernant le camarade MOUTARI GOGE Moustapha, il a observé une courte phase de délire suite au choque interne. Très touché, en un degré sévère, Dieu l'a voulu ainsi. Il poursuit ses études en SIG et gestion de la base de données à l'Université Abdou Moumouni de Niamey.
- Quant aux camarades de blessure morale
ADAMOU YAHAYA Ibrahim
Notre camarade Ibrahim était à la hauteur de toutes les considérations. Il a su géré malgré la rudesse de l’événement et l'instabilité morale. Oui, comment se maintenir devant ce bus molesté, face à ces bagages éparpillés? Mais comment s'être violenté doublement face à la couleur rouge du sang qui tapisse l’accotement de la chaussé? Comment et comment maîtriser son cœur et assurer le piquet devant le corps d'un ami ayant rendu l'âme tout d'un coup? IL LE FALLAIT, faire un dépassement de soi et transcender les secousses de la conscience. Ibrahim mérite vraiment toute la considération. Après quelques jours de l'accident, il s'est retrouvé lui aussi, à la clinique suite à un malaise inattendu. Ibrahim renoue avec la vie en perpétuellement mutation, et qu'il trouve ici tout notre encouragement.
ALI DOUKA Mahaman, seul Dieu le tout puissant est témoin. Les mots sont à l'étiage pour moi. J'aurais voulu dire quelque chose, mais trop tard, presque un mois d'écriture, de raisonnement, d’agencement d'idée pour juste immortaliser les mémoires de nos camarades arrachées au moment de besoin. Il fallait que j'écrive pour qu'on se souvienne d'eux et de leur œuvre. Il le faut bien, pour toute cette jeunesse de savoir compter sur elle même pour produire des initiatives du développement dans tous les secteurs. Il le faut aussi en tout cas se donner les bels exemples pour un avenir radieux. Il est temps de se sacrifier pour le bien de toutes et tous et partout.
Peut être certains comprendrons la logique qui est la nôtre, d'autre au contraire ont toujours voulu nier la responsabilité qui les incombe d'agir au bon moment pour asseoir les jalons de la possible dynamique de l'heure.
III. Remerciements
Nous ne pouvons passer sans remercier tout ceux, de près ou de loin, nous ont assisté moralement, matériellement dans cette douloureuse épreuve. Qu'ils trouvent leurs récompenses dans le bien être du monde d'ici-bas et la réussite dans l’au-delà amen..!!!
*Je pense à toutes les familles des victimes, qu'elles trouves l'expression de nos compassions, de nos condoléances aux âmes disparues, que la terre leur soit légère amen!!!
*L'on ne peut imaginer le courage de la Femme du Ministre Salissou HABI qui a remorqué certain blessé à l'urgence du CHR de Dosso et financé les médicaments du soin primaire. Merci infiniment.
* Le Vice-Recteur de l'Université de Dosso, malgré son âge avancé, s'est transformé en militaire de garde pour considérer l'ensemble des accidentés comme ses propres fils. Je me rappelle bien de ses conseils d'apaisement pour nous calmer. Nous le remercions de fond du cœur.
*Nos Enseignants Chercheurs du département de Géographie furent conséquents et déterminés. On en parle même pas, j'imagine Dr DAMBO Lawali, Chef du Département ayant agit en toute conséquence pour assurer le cadrage de soins et l'évacuation des blessés et corps jusqu'à Niamey. Merci spécialement. Il n'est pas du tout seul, Pr YAMBA Boubacar, le Vice-recteur Pr BOUREIMA Amadou, Dr BODE Sambo etc.... Merci merci qu'Allah bénisse les innombrables efforts.
*A tous nos camardes pour leurs assistances confortables, ils étaient aussi nombreux. Merci à toutes les structures syndicales à cet effet.
Il manque quelques images à ajouter
En lisant ces mots, c'est comme si j'étais avec vous tout au long de ce voyage.En tout cas merci d'avoir essayer de reconstituer les faits de cette tragédie. Que les âmes des illustres disparus reposent en paix.Ameen
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBonjour. jai parcouru avec beaucoup de tristesse ce blog. Mais il rend un vibrant hommage à nos collegues géographes disparus dans leur projet de briser les frontieres pour une géographie plus collaborative entre les etudiants de la sous region ouest africaine.
SupprimerQue Allah le misericordieux assiste les familles de nos illustres disparus.
Les morts ne sont pas morts disant un ecrivain negro-africain. Le travail de nos camarades restera eternel. Coninuons leur lutte...
Je vais informer les camarades de Ouagadougou car beaucoup ignorent encore les circonstances de ce drame.
Merci pour leur avoir rendu hommage mon cher Ali Douka Mahama. Recevez notre solidarité fraternelle.
Patrick Parkouda;
Master 2 geographie; Universite de Ouagadougou
Burkina Faso.
En somme je ne sais quoi même dire, j'ai lu j'ai regardé avec de larme aux yeux car sa m'a rappelé le moment difficile que nous avons vécu. Que les âmes de disparus reposent en paix ameen et merci une fois de plus pour tout ceux qui nous ont apporté leur soutien quelque soit sa nature
SupprimerMerci infiniment pour toute cette considération que les âmes de nos camarades reposent en paix et qu'Allah les pardonne amen
RépondreSupprimerMerci infiniment pour toute cette considération que les âmes de nos camarades reposent en paix et qu'Allah les pardonne amen
RépondreSupprimerAmine paix à leurs âme Qu'Allah les pardonne afin de les accepter dans son paradis
RépondreSupprimerAllahou Akbar. qu'Allah les pardonne et leur accorder son paradis.
RépondreSupprimerAllahou akbar que leurs ames reposent en paix
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